Le ciel.
En ce large palais, gravé par l'art romain
Où d'autres diamants, dansent l'air trismégiste
Des lutins, le Zéphyr, dont l'on ne sait l'artiste
Qu'un matin du stylet, il gravait de sa main,
Tout instant tout moment, tantôt clair ou carmin
De bronze ou bien de gris joyeux ou même triste
Il comble l'océan, le blé, maïs, l'alpiste,
De sublimes repas, faisant beau le jasmin ;
Et la mer une flaque étonnement l'avale
Lui, l'immense horizon chu de son prisme ovale
Où s'allonge la nuit autant que tous nos jours,
Il rend belle la fleur qu'offrir un soir l'on aime
Il se fait muse enfin à l'aube d'un poème
Je sais qu'elle l'adore elle l'azur toujours...
Daniel Beau le poète rêveur
24 mai 2021
Inknotpad
Google Chrome
16:09
En ce large palais, gravé par l'art romain
Où d'autres diamants, dansent l'air trismégiste
Des lutins, le Zéphyr, dont l'on ne sait l'artiste
Qu'un matin du stylet, il gravait de sa main,
Tout instant tout moment, tantôt clair ou carmin
De bronze ou bien de gris joyeux ou même triste
Il comble l'océan, le blé, maïs, l'alpiste,
De sublimes repas, faisant beau le jasmin ;
Et la mer une flaque étonnement l'avale
Lui, l'immense horizon chu de son prisme ovale
Où s'allonge la nuit autant que tous nos jours,
Il rend belle la fleur qu'offrir un soir l'on aime
Il se fait muse enfin à l'aube d'un poème
Je sais qu'elle l'adore elle l'azur toujours...
Daniel Beau le poète rêveur
24 mai 2021
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